Pourquoi roule t'on seul.
Voici une des raisons qui font que l'on aime rouler seul en moto...
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Voici une des raisons qui font que l'on aime rouler seul en moto...
Ben vivement qu'il fasse beau, que l'on puisse en profiter.
Qui n'a jamais vu l'incivilités des conducteurs sur la route.
Des fois il y a vraiment de quoi ce fâcher..
Chers Blogueuses et Blogueurs, à chaque jours ça découverte.
Aujourd'hui je vous fais part de la réponse spontanée d'un enfant à un questionnaire d'adulte.
C'est dans les réponse que l'on voit qu'ils ne voient pas les choses comme nous.
Humour pétillant et plaisir revivifiant : Vive les enfants!
Examen de français en primaire (véridique) et drôle surtout....
Réponses d'élèves de primaire
1.. Dans la phrase ''Le voleur a volé les pommes'', où est le sujet ?
- En prison.
2. Le futur du verbe ''je baille'' est... ?
- je dors.
3. Que veux dire l'eau ''potable'' ?
- C'est celle que l'on peut mettre dans un pot.
4. Qu'est-ce qu'un oiseau migrateur ?
- C'est celui qui ne peut se gratter que la moitié du dos.
5. Que faire la nuit pour éviter les moustiques ?
- Il faut dormir avec un mousquetaire.
6. À quoi sert la peau de la vache ?
- Elle sert à garder la vache ensemble.
7. Pourquoi le chat a-t-il quatre pattes ?
- Les 2 devant servent à courir, les 2 derrière à freiner.
8. Quand dit-on ''chevaux'' ?
- Quand il y a plusieurs chevals
9. Qui a été le premier colon en Amérique ?
- Christophe.
10. Complétez les phrases suivantes :
À la fin les soldats en ont assez...
- ...d'être tués.
Je me réveille et à ma grande surprise...
- ...je suis encore vivant.
La nuit tombée...
- ...le renard s'approcha à pas de loup.
11. Pourquoi les requins vivent-ils dans l'eau salée ?
- Parce que dans l'eau poivrée, ils tousseraient tout le temps.
Ma préférée
12. L'institutrice demande : Quand je dis «je suis belle», quel temps est-ce
?
- Le passé, madame.
C'est là que l'on voit que partout ou nous sommes il faut prendre les bonnes décisions..
Une blonde arrive à se faire offrir une Porsche 911. Elle va l'essayer, et comme elle a oublié de faire le plein, bien sûr elle tombe en panne.
Elle ne comprend rien à la mécanique, mais de confiance elle va à l'avant, lève le capot et
ne voit rien. Elle attend, capot en l'air, le miracle, et le miracle se produit : une autre Porsche 911 s'arrête, et en descend une autre blonde
- Que vous arrive-t-il ?
- C'est pas croyable : Je viens de perdre mon moteur, regardez dans mon capot !
- Vous avez de la chance, on va pouvoir s'arranger.
Regardez dans le coffre arrière de ma voiture : mon copain est prévoyant, il m'en a mis un de rechange.
Hello, comme vous avez pu le lire dans la press, il y a eu un accident de moto sur un col au Grison.
ça peu arriver à n'importe qui, a nous d'être prudent sur les routes et ne pas faire de course.
Paradoxalement, bonheur et satisfaction ne sont pas les seuls sentiments à se bousculer dans le cœur de ce spécialiste de carrosseries Chapron. Une sorte de dégoût fleurant l'écœurement l'envahit lorsqu'il évoque les trois ans et 15 000 heures de travail que lui a valu cette exceptionnelle réalisation.
«Il faut que je digère tout cela», image-t-il. En dépit des obstacles rencontrés, des innombrables difficultés, des nuits blanches, Vincent Crescia n'a pourtant jamais songé abandonner. «Je ne pouvais pas. Même si j'ai connu des moments de découragement, mon honneur était en jeu.»
Au-delà de sa réputation européenne dans le milieu de la restauration de haut niveau, il avait promis à son défunt père qu'un jour il construirait une SM présidentielle. «Mais jamais je n'aurais imaginé que ça puisse être si compliqué!»
Ironie du sort, tandis que Vincent Crescia est amoureux de ce modèle depuis l'enfance, un grand producteur de cinéma parisien lui a demandé, voici cinq ans, s'il lui était possible de fabriquer une Citroën SM présidentielle. «ça paraît incroyable, mais je ne crois pas au hasard!»
Deux ans durant, le restaurateur de véhicules s'est heurté au premier obstacle: obtenir des autorisations de Citroën, de la veuve et de la fille d'Henri Chapron (créateur de la carrosserie de la SM), ainsi que de l'Elysée. «J'ai été reçu à deux reprises par le général du parc automobile de l'Elysée, à Paris.»
Appuyé par la famille Chapron qui connaît la qualité de son travail, aidé par la renommée du «Swiss made», Vincent Crescia se voit enfin décerner les autorisations nécessaires à la réalisation de son immense projet.
Il se lance alors dans une aventure dont il n'imagine pas encore l'ampleur. «J'ai retrouvé les gabarits du véhicule chez un collectionneur qui les avaient récupérés lors de la faillite de l'entreprise Chapron», raconte-t-il. «Rigidifier la caisse de la voiture n'a pas été une sinécure. Je n'avais pas de plans. Il a fallu faire des calculs très complexes. La pose du capotage hydroélectrique n'a pas été simple non plus.»
Au-delà des difficultés techniques rencontrées, la réalisation de ce projet démentiel a permis à son auteur d'aller au bout d'une passion que son père déjà estimait démesurée. «J'ai compris que l'on peut faire beaucoup de mal autour de soi et à soi-même lorsque l'on est obsédé par quelque chose. Cette expérience m'a enrichi, peut-être mûri, changé assurément.»
Question de la digérer, Vincent Crescia s'est mis à l'écriture.
Dans «Passion dangereuse», qui sortira en trois langues à la fin de l'année, il raconte son enfance, son père, leur passion commune pour les mythiques Citroën ou l'histoire d'un homme qui s'apprête à passer le cap de la quarantaine. /FLV
FLORENCE VEYA
CITROËN SM Ce véhicule n'est pas une réplique. Portant un numéro de production Chapron, il constitue une troisième exécution du modèle SM présidentiel dont les deux autres exemplaires se trouvent à l'Elysée.
«En 1971, le président de la République française Georges Pompidou fait part de son vœu à Henri Chapron d'avoir une voiture plus longue que celle des présidents américains», raconte Vincent Crescia. Chapron crée alors la Citroën SM présidentielle, longue de 6 mètres, décapotable et équipé, à l'arrière, outre deux fauteuils, d'un siège destiné à un interprète.
Jusqu'à présent, seuls deux modèles, propriété du patrimoine national français, avaient été réalisés. C'était sans compter la rencontre de deux passionnés: Vincent Crescia et l'acheteur-collectionneur parisien. Trente-neuf ans plus tard, une exécution supplémentaire - «et non pas une réplique», insiste son concepteur - de la SM présidentielle de couleur «Shell Grey Rolls» et portant le numéro de production Chapron 7659, vient de sortir d'un atelier... saint-blaisois. Le véhicule arbore même une authentique cocarde de la République française, cadeau, «pour saluer une réalisation remarquable», du général chargé de gérer le parc automobile de l'Elysée.
Vincent Crescia s'applique à présent à rôder l'exceptionnel véhicule, avant de le remettre, d'ici l'automne, à son propriétaire qui pourrait bien l'enrôler dans l'un de ses futurs films. Mais avant cela, les amateurs de carrosseries rares peuvent se rendre à Saint-Blaise pour admirer la belle qui trône fièrement dans les locaux du garage du Lac. /flv
En balade, on a des fois des surprises, dans les situations, les paysages ou les nom des village que l'on traverse.
Alors le tout est d'avoir l'appareil photo sous la main pour imortaliser la chose.
Alors nickel, super concert, je vous recommande aussi le Caribana Festival.
Festival cool, dans un cadre magnifique, je me réjouis de voir la programmation de l'anné prochaine pour y retourner, suivant comment les 4 jours...
Article de: FABRICE GOTTRAUX / 11.06.2009
Rock texan et grosses cylindrées étaient attendus de pied ferme pour le premier jour du 19e Caribana, hier soir à Crans-sur-Nyon. Ouverture réussie. Sold out depuis plus d’un mois, la soirée, si elle n’était pas la plus garnie du festival en matière de concerts, a tenu ses promesses. Spectaculaire. Sur le bitume. Et sur la scène.
Festival de Harley, tout d’abord. A l’invite d’un judicieux billet concert plus parking surveillé (par des vrais bikers vaudois, s’il vous plaît), la grande famille des propriétaires de Harley-Davidson a répondu présent, rejoignant les places réservées non sans impressionner au passage la piétaille des festivaliers.
Machines pétaradantes, tôles rutilantes, siège clouté ou non, veston cuir, jeans, bottes, petit ou gros casque, avec ou sans bedaine, les aficionados défilent. «On avait prévu initialement 40 places, on attend finalement 80 motards, glisse un gardien. Bien sûr ce ne sont pas les 30 000 Harley que j’ai vues lors d’une réunion au Danemark. Mais si on peut aider… On se soutient!»
La clientèle n’est plus toute jeune. Elle vient de Genève, de Vaud bien sûr, du Valais beaucoup, de Suisse allemande aussi. Plus deux Britanniques! Un succès, à n’en pas douter. Au total, des centaines d’engins de marque se sont rendus au festival.
It’s Got me Under Pressure. «Sous pression», le concert démarre. Dès les premières notes boogie balancées par ZZ Top, la foule est acquise. Foule qui, soit dit en passant, est la plus grande que le festival ait jamais vue depuis sa naissance en 1990. 21h40: après une seconde de hululements canins, et trois de boîte à rythmes electro, les vedettes entament un tonitruant déballage de tubes sur la grande scène du Caribana.
Deux barbus, un moustachu. Comme prévu. Pour la parade, Billy Gibbons et ses confrères ont choisi la sobriété. Costards noirs, Santiags et l’éternel stetson vissé sur la tête, noir aussi. En toile de fond, un écran géant fait défiler des clés à molette. Normal, se dira-t-on, pour un groupe qui a fait de la Chevrolet une chanson à succès et du coupé Ford rouge un emblème.
Alors, ça fait vroum? Et pas qu’un peu. Rôdé trente années durant, le jeu est au poil. Les deux barbus ne se séparent jamais de plus d’un mètre. Le public suit des yeux. Les ZZ Top fêtent cette année chacun leurs 60 ans? Le rock sudiste, lui, n’a pas d’âge.