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  • Trophée Andros : Prost et le Dacia Logdy gagnent...

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    L'édition 2011/2012 du Trophée Andros est terminée, c'est finalement Alain Prost qui s'en sort avec un titre qui lui échappait depuis trois ans. Mais chez Skoda, on a pas apprécié le déroulement de la dernière course.

    Le dernier week-end du Trophée Andros s'annonçait particulièrement intéressant, il l'a été au delà des espérances. La rivalité entre l'équipe Dacia d'Alain Prost et l'escadron Skoda a poussé la tension à son paroxysme et la polémique est toujours bien vivace après l'abaissement du dernier drapeau à damier de la saison.

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    En cause, les frictions en course qui ont été plutôt généreuses entre les Dacia et les Skoda. Après un accrochage entre la Skoda d'Olivier Panis et la Dacia de Nicolas Prost, c'est Alain Prost qui se frottait à la Skoda de Jacques Villeneuve dans la dernière course, provoquant un drapeau rouge à la suite duquel l'organisation a demandé à Villeneuve de partir dernier sur la grille, tandis que Prost repartait dans le peloton de tête avant de remporter la course, lui permettant de décrocher le titre pilote.

    Jacques Villeneuve a déclaré que le « Trophée Andros avait été truqué pour favoriser Alain Prost » et Skoda remet en doute ses engagements futurs dans le championnat. 

     

    Pour Alain Prost, c'est le troisième titre à l'Andros et la première fois qu'il impose une Dacia dans la discipline. Nul doute que les discussions devraient aller bon train avant la tenue de la prochaine édition...

     

    Classement final:

    1. Alain Prost (Dacia) 823 pts

    2. Benjamin Rivière (Skoda) 818 pts

    3. Jean-Philippe Dayraut (MINI) 817 pts

    4. Olivier Panis (Skoda) 784 pts

    5. Evens Stievenart (Dacia) 764 pts

  • Histoire des Muscle cars : Chevrolet Camaro, première génération (1966 – 1969)

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    La première génération de Camaro apparaît sur la scène deux ans après sa rivale désignée, la Mustang. C'est cette première édition qui a servi d'inspiratrices pour la renaissance du modèle à sa cinquième génération en 2009...

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    Année modèle 1967 

    La légende de la Camaro début en septembre 1966. Proposée en coupé ou en cabriolet, sa ligne caractéristique a servi d'exemple à la dernière née de la famille. Long capot légèrement en pointe (accentuée sur les années suivantes), large calandre intégrant les phares (une version à phares rétractables est proposée), ligne de caisse légèrement ondulée et rebondie au dessus des roues arrières... 

    Outre les deux variantes de carrosserie, la gamme propose trois versions (sous forme de packs) SS, RS et Z/28, 80 options disponibles en usines, 40 montées dans le réseau, et au total un choix de neuf motorisations, de 140 à 375 ch. La version de base propose de série un 6 cylindres en ligne 230  de 140 ch, et en option une version 250 de 155 ch, un V8 327 de 210 ou 275 ch. Une version de base sur laquelle il est possible d'ajouter le pack RS (Rally Sport), qui apporte divers éléments de style, et en particulier la face avant avec phares rétractables. 

    La SS (Super Sport) apporte surtout son V8 350 avec 255 ch, ou en option un V8 396 de 325 ou même 375 ch. Le pack RS est alors également disponible sur la SS. 

    La Z/28 arrive à la fin de l'année 1966. De façon très discrète et sans être officiellement annoncée.Il s'agit alors d'un pack et non d'un modèle en soi, qui doit être accompagné de l'option des freins à disques et de la boîte manuelle à 4 rapports. Le but est en fait d'homologuer un modèle pour pouvoir engager la Camaro dans les courses TransAm. Ce qui explique que son V8 soit plus petit que celui de la SS, puisque les règles de la compétition imposent un moteur de moins de 305 cid. Il cube donc ici 302 cid, par réduction de la course sur le V8 350. Officiellement, il est annoncé à 290 ch, mais il en faisait vraisemblablement près de 400. Le nombre de Z/28 fut très réduit, à peine plus de 1.000 exemplaires sur les 100.000 Camaro du millésime 1967. Ce qui en fait bien sûr un modèle très recherché... 

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    Année modèle 1967 

    Pour 1968, la Camaro bénéficie de quelques évolutions avec un changement de sa grille, marquant le début de l'accentuation de la pointe centrale. Autre changement dans le style, la disparition du fenestron sur les portes avant, grâce à l'introduction d'un système de ventilation baptisé Astro Ventilation... 

    La version SS est à présent disponible avec un V8 396 intermédiaire de 350 ch. De son côté la Z/28 est un peu plus mise en avant, et reçoit des badges qui permettent de la distinguer. Elle représentera ainsi 7.000 des 235.000 Camaro du millésime 1968.

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    Année modèle 1969 

    Déjà arrivée dans sa dernière année, la première génération de Camaro accentue encore le V de sa calandre, revenant sans doute au style originel voulu par l'équipe de style, et probablement sacrifié lors du lancement sur l'autel des économies. En fait, tout le style est changé, et seul le capot et la porte de coffre arrière sont conservés. La Camaro prend une allure plus agressive avec des arêtes plus prononcées. 

    La gamme se développe fortement. Si l'entrée de gamme en 6 cylindres 140 ch disparaît, un V8 307 cid de 200 ch est ajouté, tandis qu'un nouveau V8 350 cid de 255 ch est également disponible, en plus des deux V8 327 qui restent au catalogue.

     

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    Les Camaro COPO 

    Mais l'événement pour les moteurs en cette dernière année est l'arrivée des fameuses options COPO Il est alors interdit à Chevrolet de proposer dans sa gamme des moteurs de plus de 400 cid (6.6l). Une interdiction faite par GM qui a passé un accord avec ses concurrents pour réduire les performances des véhicules. Chevrolet contourne l'interdiction en proposant deux options via son système de réservation réservé aux flottes, et baptisé COPO (Central Office Production Orders), et répondant ainsi à la demande de certains concessionnaires qui souhaitent proposer de plus gros moteurs.

     

    La première COPO répondant au code 9561 adopte un V8 L72 427 de la famille des big-block, avec 425 ch. Environ un millier d'exemplaires seront produits. 

    La seconde COPO est sans doute la plus connue, mais aussi la plus extrême et la plus rare. La COPO 9560 utilise un V8 427 tout aluminium connu sous le nom de ZL-1. Elle fut créée spécialement pour les courses de dragster. Pour homologuer l'engin pour cette compétition, Chevrolet doit toutefois en vendre au moins 50 exemplaires. La commande de cette option s'accompagne d'un nouveau capot, de nouveaux freins (disques à l'avant), d'un différentiel arrière spécifique et d'une boîte renforcée. C'est que le moteur annoncé officiellement pour 430 ch en fait en réalité environ 500... Chevrolet en fabriquera 69 exemplaires. Mais leur prix est exorbitant. Avec 7.200$, elle coûte en effet deux fois plus cher qu'une SS396... Les véhicules seront difficilement vendus, les derniers exemplaires attendront d'ailleurs leur acquéreur jusqu'en 1970. 

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    L'ensemble de la Camaro 1969 continue d'ailleurs jusqu'au début de l'année 1970, puisque la seconde génération a débuté sa carrière tardivement dans l'année modèle 1970. 

    Afin de respecter les dénominations officielles des modèles, la cylindrée des moteurs est exprimée en pouces cubes (cid - Cubic Inch Displacement). Voici le Tableau de convertion.

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    Par Frederic Papkoff

  • F1: Gascoyne explique la Caterham CT01 (officielle)

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    Hier après les fuites des photos du magazine publiant en exclusivité la CT01, Caterham avait du publier une photo officielle marquant l'ouverture de la saison 2012. Aujourd'hui l'écurie de Woking dévoile toutes les photos officielles de son nouveau bébé et surtout l'interview de son géniteur Mike Gascoyne.

     La publication des premières images de la toute première Formule1 de 2012 à se dévoiler a suscité un vif débat sur son physique plutôt ingrat que beaucoup ont comparé à un gavial (crocodile Indien au museau fin et allongé). Cependant de nombreux spécialistes laissent entendre que ce sont les nouveaux règlements qui imposent plus ou moins ce nouveau genre de « nez » et Mike Gascoyne confirme:

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     « Le règlement a modifié la limite de hauteur des museaux pour être sur qu'ils ne soient pas toujours plus haut. En effet notre objectif est de toujours avoir la châssis le plus haut possible pour permettre d'avoir un flux d'air le moins perturbé possible en dessous de la voiture, et ce que vous voyez là sur la CT01 est notre solution pour cela.

     Comme nous sommes la toute première monoplace révélée il est évident que cela soulève un maximum de débat, mais à cause du règlement 2012 je pense que nous devrions voir ce genre de museau sur la plupart des voitures de cette année. » L'Anglais avoue que le fait de conserver le moteur RS27 de Renault et la boîte de vitesse Red Bull a grandement aidé à la stabilité technique de la voiture ce qui a permis de se concentrer sur l'efficacité de la nouvelle voiture et son design, aidé en cela par l'utilisation de la soufflerie de l'écurie Williams. L'aérodynamique, nerf de la guerre de la Formule1 moderne a été le talon d'Achille des précédentes monoplaces de l'écurie de Tony Fernandes selon Gascoyne qui se réjouit de l'abandon du diffuseur soufflé:

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     « L'an passé nous nous étions concentrés uniquement sur le développement du diffuseur soufflé qui était une nouveauté pour nous et nous avons couru après les autres écuries toutes la saison 2011 pour tenter de rattraper notre retard. Son interdiction en 2012 joue certainement en notre faveur. (...) Mais vraiment l'aérodynamique est l'un des principaux éléments du développement et c'est pour cela que nous avons mis plus de ressources sur ce point. »  Grosse nouveauté pour cette CT01 par rapport à sa devancière la T128, l'introduction du Kers - d'origine Red Bull selon différentes sources concordantes- qui devrait aider les pilotes à enfin remonter sur la grille durant les qualifications et aussi à ne pas perdre le fruit d'un bon départ comme ce fut le cas pour Kovalainen au Brésil.

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     Si Mike Gascoyne n'avoue pas d'objectif chiffré en terme de position finale - 10ème ces deux dernières saisons - ou de points au championnat - aucun point marqué en 2010 et 2011 - il y a fort à parier que le propriétaire de l'écurie Tony Fernandes a du pour sa part en fixer des concrets. L'Anglais se montre toute fois prudent: « Jusqu'à ce que nous fassions rouler la voiture, nous n'avons que des chiffres et des simulations pour travailler. (...) Mais maintenant je pense qu'il est temps d'aller vers l'avant de nouveau. Voyons ce qu'il arrivera quand nous serons sur la piste. » Espérons pour le natif de Norwich que cette collaboration soit plus fructueuse que ces dernières expériences avec Toyota ou Spyker.

     

     

    Par Thibaut Emme

  • Spyshots : Chevrolet Corvette C7

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    L'année modèle 2013 sera la dernière pour l'actuelle Corvette. Dès l'année prochaine, la septième génération prendra le relais, et chez GM, les prototypes s'activent. Mettant ainsi fin à plusieurs rumeurs.

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    Bien qu'encore lourdement camouflée, la septième génération laisse voir certains de ses points caractéristiques. Il ne fait aucun doute que ce prototype appartient à la famille Corvette, et il met un terme à la rumeur « serpent de mer » d'une Corvette à moteur central. Le moteur est ici bien placé à l'avant, avec des roues qui semblent plus encore positionnées à l'extrémité antérieure, avec un empattement allongé.

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     L'arrière s'élève, mais le véhicule ne perd pas l'allure générale née avec la quatrième génération. En ce ui concerne la vision arrière, la lunette séparée en deux parties en temps évoquée ne semble pas ici faire partie du programme.

  • Futur Golf VII.

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    De plus en plus attendue, la future voiture de Volkswagen nommée Golf 7 s'est dévoilée en cachette sur le circuit de Nurburgring Nordschleife comme déjà mentionné dans l'article précédent.

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    Attendue pour septembre 2012, la Berline Golf 7 sera lancée avec une nouvelle plate-forme MQB comme pour le cas de sa couine l'Audi A3, ceci explique la cause de la naissance de cette 7ème génération de Golf aussi rapide qu'avant, juste trois ans après le lancement de la Golf 6.

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    Même si les images ne reflètent pas la VW Golf 7 à 100%, on pourra voir de nouveaux changements comme retouches avec un prix qui avoisinera les 16000 euros. 

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    Si vous vous concentrez bien sur les images Golf 7, vous sentirez que les passages de roux sont un peu élargis.De plus, la nouvelle Golf VII se verra équiper du Twin Drive, ce dernier qui combine un moteur 1.5L diésel à trois moteurs électriques qui permettront ainsi une meilleure autonomie.

    La version Golf GTI sera certainement munit d'un moteur de 2.0L TSI pour développer une puissance de 220 ch soit 164 kW.

  • Jaguar XJ220S : un exemplaire aux enchères !

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    La célèbre maison d'enchères RM Auctions mettra en vente ce jeudi l'incroyable Jaguar XJ220S. Il s'agit là d'un des six exemplaires modifiés par Tom Walkinshaw Racing (TWR).

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    Produite pour concurrencer les Ferrari F40 et Porsche 959, la Jaguar XJ220 fait rêver bon nombre de collectionneurs très fortunés. Ils risquent d'ailleurs d'être ravis d'apprendre que la maison d'enchères RM Auctions mettra en vente un exemplaire bien particulier de cette Britannique hors du commun.

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    Il s'agit d'une XJ220S, autrement dit d'un des six exemplaires produits par le fameux préparateur Tom Walkinshaw Racing (TWR). A l'époque (en 1993), TWR avait opté pour une carrosserie en carbone pour remplacer celle faite en aluminium et gagner ainsi quelques centaines de kilos. Résultat, la voiture ne pèse plus qu'une tonne.

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    Le V6 bi-turbo avait lui aussi été modifié passant de 680 chevaux à 700 étalons prêts à partir au galop et un couple de 712 Nm grâce à une nouvelle ligne d'échappement en titane. Avec un tel rapport poids/puissance, ce Jaguar de 19 ans peut encore dévorer presque tous ses concurrents ! 

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     Pour pouvoir se mettre au volant de cette Jaguar XJ220S, les intéressés devront débourser entre 176.000 et 225.000 euros. Le prix d'une GT actuelle !

     

    Par Simon Potée-Gallini

  • Salon Genève 2012 : Porsche Boxster (Type 981)

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    La troisième génération de Porsche Boxster change profondément. Plus léger, plus performant et plus sobre, il marque aussi davantage sa différence avec la 911. Son style, inspiré de la 918 Spyder en témoigne. Commercialisation en avril 2012.

    1996. Porsche commercialise la première génération de son Boxster (type 986). Ce modèle "marque le début de la fin" pour de nombreux puristes qui voient avec ce modèle la fin du refroidissement par air et le recours aux économies d'échelle. L'année suivante, la Porsche 911 (type 996) adopte le style un peu lisse du roadster à moteur boxer et sa mécanique à refroidissement liquide...

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    Il faudra attendra la génération suivante présentée en 2005 pour que les puristes mettent de l'eau dans leur vin. Style plus affirmé, finition en net progrès et motorisations plus conséquentes, le Porsche Boxster 2 (type 987) entre dans la cour des grands.

     

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    Le succès est toutefois au rendez-vous pour la firme de Stuttgart, qui aura, en l'espace de 15 ans, produit 300.000 Boxster et Cayman (sa variante coupé). 

    Porsche nous présente aujourd'hui son Porsche Boxster 3. A la découverte des premiers clichés et de la vidéo, nous avons laissé échapper un petit "jamais deux sans trois". Entendez par là que ce Boxster 2012 nous semble plus ambitieux et plus réussi esthétiquement que ses prédécesseurs.

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    D'ailleurs, sa ligne, qui puise en grande partie son inspiration dans la superbe 918 Spyder y est pour beaucoup. Nous apprécions notamment le nouveau traitement des optiques et le travail effectué sur les flancs et sur les boucliers... rendus bien plus dynamiques.

     

    La refonte du châssis et de la carrosserie s'accompagne aussi d'une perte de poids, puisque le nouveau Porsche Boxster pèse désormais 1.315 kg en entrée de gamme, contre 1.335 kg pour la version précédente. Soit un gain de 20 kg.

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    Au chapitre mécanique, le flat-six 2.9 à injection indirecte cède sa place à un 6 à plat 2.7 à injection directe. Une réduction de cylindrée qui s'accompagne en contrepartie d'une augmentation de puissance, puisque le Boxster revendique désormais 265 ch (0 à 100 km/h en 5,7 secondes, 7,7 l/100 km et 180 gr de CO2 en PDK). 

    Le haut de gamme cube toujours 3,4 litres, mais passe désormais à 315 chevaux, ce qui représente un gain de 5 ch (0 à 100 km/h en 5 secondes, 8 l/100 km et 188 gr de CO2 en PDK).

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    Pour maîtriser cette cavalerie, le Porsche Boxster 2012 bénéficie des avancées technologiques de la grande sœur 911, à l'instar de la suspension dynamique de la transmission et du Porsche Torque Vectoring avec différentiel mécanique sur l'essieu arrière.

    Toujours à l'instar de la Porsche 911, le nouveau Porsche Boxster adopte une planche de bord beaucoup plus cossue, inspirée pour sa part de la Carrera GT et de la Panamera. Le détail des équipements devrait être connu sous peu. On sait juste que la capote se déplie en seulement 9 secondes, en roulant à 60 km/h ! 

    Commercialisé à partir du 19 avril, le Porsche Boxster (type 981) sera vendu à 49.372 euros en 2.7 et 60.435 euros en Boxster S 3.4.

     

    Par Julien Marcos

  • Detroit 2012: Scion FR-S Formula Drift.

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    Depuis 9 ans, Scion s'implique en Formula Drift. Ainsi, au salon de Detroit, Scion dévoile une version drift de son nouveau coupé, la FR-S.

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    Pour mémoire, la FR-S est une Toyota GT86/Subaru BRZ rebadgée.
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    Le constructeur n'est guère bavard sur cette FR-S GReedy. On sait seulement que le 2,0l à été poussé à 600ch. 

    D'après les photos, on peut constater qu'elle reçoit un kit carrosserie (boucliers, bas de caisse, aileron, jantes...) et que l'intérieur a droit au traitement habituel (arceau-cage, baquet avec harnais, extincteur...)

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     La voiture sera pilotée par Ken Gushi, déjà présent chez Scion depuis des années.

  • la Dodge Charger surnommée General Lee, est mise aux enchères ...

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    Avouez-le, cette Dodge Charger vous a toujours fait rêver ! Star de la série " Shérif, fais-moi peur " et affectueusement baptisée General Lee par les cousins Luke et Bo Duke, cette sublime américaine sera mise aux enchères aux Etats-Unis.

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    La toute première General Lee entièrement restaurée, sera mise aux enchères dans quelques semaines aux Etats-Unis. 

    La carrière de la belle

     

    Shérif, fais moi-peur, une série que tout amateur de belles mécaniques (mécaniques automobiles, précisons-le) se doit de connaître. L'histoire se passe en Géorgie, où les Bo et Luke Duke, accompagnés de leur cousine Daisy et de leur oncle Jesse, se frottent au shérif Roscoe et au maire Boss Hogg, tous deux largement corrompus. Au volant de General Lee, Bo et Luke se lance dans de très acrobatiques courses-poursuite, ponctuées de saut. La Dodge Charger qui sera mise en vente est d'ailleurs visible dans le générique : à la toute fin de celui-ci, elle effectue un saut spectaculaire.

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    Les entrailles de General Lee

     

    Qui est vraiment General Lee ? Tout simplement une Dodge Charger de 1969, dotée d'un V8 d'environ 335 ch. Totalement orange, cette petite merveille télévisuelle était affublée d'un énorme « 01 » sur ses portières. On pouvait également lire « General Lee » sur le toit. Le modèle mis en vente est en réalité la toute première Dodge Charger utilisée pour les besoins de la série. Elle apparait dans le premier épisode, où elle réalisa un saut de 5 mètre de haut et 25 mètres de long ! Une prouesse fatale à la voiture, puisqu'elle resta pendant 23 ans dans une casse à Atlanta, avant d'être entièrement restaurée.  

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    Cette General Lee, surnommée « Lee 1 » par les producteurs de la série sera mise aux enchères par Barret-Jackson lors d'une vente organisée du 15 au 22 Janvier prochain à Scottsdale, en Arizona. Une vente où cette Dodge Charger 1969 côtoiera du beau monde : parmi les voitures disponible, on retrouve notamment une Mercedes 300 SL ''Gullwing'' de 1954 et une Cadillac Eldorado Biarritz Convertible de 1960.

     

    Si vous êtes un fan (fortuné) de la série TV, tentez-votre chance !

     

  • Brian Johnson aux 24 heures de Daytona

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    AC/DC, c'est avant tout les riff d'Angus Young. Mais il ne faut pas diminuer le rôle du chanteur, Brian Johnson, avec sa fameuse voix cassée. Les lecteurs de Top Gear savent qu'à l'occasion, Johnson aime tenir un volant. A bientôt 65 ans, il se lance en compétition, via les 24 heures de Daytona.

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    Pour autant, Johnson n'est pas totalement novice. Jusqu'ici, il disputait des compétitions d'anciennes avec sa Lola T70 personnelle.

    Byron de Foor, un gentleman-driver du Tenessee, l'a convaincu de se lancer avec lui dans les « modernes ». Ils seront associés à d'anciens vainqueurs: Elliott Forbes-Robinson, Jim Pace et Carlos de Quesada.

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    Ils portent la bannière de « Predator Performance 50+ ». « 50+ » et le numéro de course étant des clins d'œil à l'âge du quintet.

    Johnson sera également présents aux épreuves de Watkin Glen et d'Indianapolis.

     Il a monté une opération à l'association Austin Hatcher, qui aide les enfants atteints de cancer. L'opération porte le nom de « Highway to help » (en référence au fameux titre d'AC/DC) et elle a pour but de lever 1 million de dollars. 

    En attendant, le Grand-Am lui impose un rookie test.

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    Sur le chemin du fameux circuit, de Quesada (qui roule en 911), se fait doubler par une Phantom noire qui faisait du 180. Il pense « c'est qui se [censuré]? », puis il se rend au garage du team. De Foor le présente à son futur équipier, Johnson... Le gars qui conduisait la Rolls!

     

    Par Joest Jonathan Ouaknine